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 We Are The World, MP3 pour humanshield |
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 Sat 29 Mar 2003, 14:04
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News Translations
Group: Team
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From: Paris - FR
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QUOTE (miss kiki @ Mar 29 2003, 12:13) Il y a encore une maniffe aujourd'hui : 14 h Concorde. 14 h Concorde.on y va ! 
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 Sun 30 Mar 2003, 02:30
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Moderator In Chief (MIC)
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Comme notre kikounette m'a expliqué de quoi il en retournait avec la 337, en tant que fervant adepte de la Pataphysique, je soutiens la motion ! C'est tellement surréaliste qu'il faut une résolution surréaliste de l'ONU pour nous en tirer. Et les USA auront pas l'air c… 
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Sun 30 Mar 2003, 17:16
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Hero
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De quoi se rafraîchir !
La liste des pays de la coalition tourne au cauchemar !
WASHINGTON, 29 mars (AFP) - Publiée dans l'urgence pour prouver au monde que la campagne militaire américaine contre l'Irak n'était pas une lubie unilatérale, la liste des pays de la coalition emmenée par les Etats-Unis suscite confusion et colère chez certains de ses membres, au point d'être devenue un cauchemar pour Washington.
Constamment actualisée sur le site internet de la Maison Blanche, cette liste, qui recense désormais 49 pays, fait l'objet de critiques acerbes, aussi bien des capitales qui s'indignent d'y trouver leur nom que des pays qui exigent d'y figurer ou simplement de voir leur rôle un peu mieux considéré.
Cette liste "est devenue un cauchemar logistique", a reconnu un haut responsable américain s'exprimant sous couvert de l'anonymat, "nous avons créé un monstre qui exige notre attention constante pour rester cohérent".
L'éventail des contributions à la "coalition pour le désarmement immédiat de l'Irak" s'étend aujourd'hui de l'engagement militaire officiel (Etats-Unis, Grande-Bretagne et Australie) au soutien moral de quelques îles du Pacifique Sud, en passant par le déploiement discret d'unités spéciales (Bulgarie, République tchèque, Pologne, Roumanie, Slovaquie et Ukraine) et l'ouverture à moindre frais de l'espace aérien (Italie, Portugal, Espagne ou Turquie).
La controverse est née dès le 18 mars dernier, lorsque Washington a rendu publique une première liste d'une trentaine de pays soutenant son intervention en Irak, tout en assurant qu'une quinzaine d'autres pouvaient y être ajoutés mais avaient refusé d'être cités.
L'existence de cette "coalition de l'ombre" n'a pas été confirmée mais le chassé-croisé de quelques pays sur la liste officielle illustre la confusion qui entoure les conditions de sa publication par l'administration du président George W. Bush, ainsi que les réticences de certains de ses membres à être rangés sous l'aile de Washington.
Il en est ainsi de la Bulgarie. Après avoir figuré sur la première version de la liste, Sofia a préféré en être retirée, avant finalement d'y être réintégrée à sa demande.
Oubliée dans un premier temps, l'Islande a dû, elle, y être rajoutée dans l'urgence. Quant aux îles Salomon, leur apparition sur une version corrigée de la liste a suscité l'ire de leur Premier ministre Allan Kemakeza, qui a affirmé "totalement ignorer" sa participation à la coalition.
Même si elle n'y a jamais figuré, la Slovénie a demandé jeudi à être retirée de la liste pour ne pas donner l'impression que les subsides offerts par Washington dans le cadre de la lutte contre le terrorisme étaient la contrepartie de son soutien à la coalition.
Quant à la Pologne, qui fournit des troupes à la coalition, elle a expressément demandé à ce que son nom ne soit pas utilisé à des "fins de propagande". Peine perdue, puisque le président Bush lui-même a cité publiquement mercredi Varsovie parmi ses principaux soutiens...
Dans le même temps, certaines petites îles du Pacifique se sont indignées des commentaires sarcastiques de la presse américaine. Ainsi Palaos, ou république de Belau, présentée dans le Washington Post comme le pays "de la plongée sous-marine, des noix de coco et du tapioca", a vivement réagi, estimant ces propos "insultants, scandaleux".
Autant d'accrocs qui n'ont toutefois pas empêché la fameuse liste, si controversée soit-elle, d'accueillir jeudi son 49ème membre, les îles Tonga, petit archipel du Pacifique sud, et de rassembler désormais 1,23 milliard d'habitants "de toutes les grandes races, religions et ethnies", selon le commentaire enthousiaste de Washington.
mvl/pal/beb/dfg eaf
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