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Après L'autoprod, L'autodistribution ?, Devenir tous distributeur de notre musique ? |
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Fri 6 Feb 2009, 15:39
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SuperHero
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personnellement je préfére nettement voir un groupe de rock ou les mecs se sortent les doigts du c** en faisant les guinols tellement ils y croient (ou font semblant > au moins on peut se fendre la gueule), plutot que voir des mecs statiques manifestement mal dans leur peau sur scene qui tirent une gueule genre "kesskon s'fait chier ici". Ou plutôt : "ah merde je suis scene, c'est quoi le prochain accord "
Parce que c'est clair, dans la majeure partie des cas : ça joue pas beaucoup... si en plus on tient compte des performances vocales et du texte, c'est à pleurer. le pire : c'est ces mêmes mecs qui s'la jouent kador, te prennent de haut & t'expliquent la vie en chiant sur tout ce qui ne leur plait pas - certains jazzeux sont pas mal aussi dans leur sryle mais au moins, ils ont bossé ...eux.
This post has been edited by groovebrother: Fri 6 Feb 2009, 16:02
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Mon 1 Jun 2009, 14:39
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SuperHero
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Citation (pval @ mer 12 nov 2008, 12:26) Comment se faire connaître, telle est la question ! Quelques mots très fragmentaires sur le contexte, et ceci n'a rien d'un hors sujet. Comment vivre en est une autre, les surprises dans le métier sont de taille par les temps qui courent.
Pour se faire connaître, il faut qu'il y ait de la place. Les disques durs de ces petites choses que personnellement je déteste (ipod itruc timachin) regorgent de musiques entassées, compressées, maltraitées. Cette manière de collectionner ne ressemble à rien, qu'en est-il de l'écoute dans ces conditions ?
La nostalgie est omniprésente, les références aux artistes des temps anciens quasiment incontournables, ça rassure par les temps qui courent. Une bonne révolution culturelle serait la bienvenue (dixit Boulez, ce matin sur France Culture, ce ne sont pas ses termes exacts). La nécessité économique de ressasser des choses accessibles immédiatement accessibles, divertissantes bien entendu et de préférence du passé jusqu'à l'écoeurement nuit gravement à nos oreilles, à nos sens.
La robinetterie itunes est néfaste, il est tout à fait exact qu'Apple se fout de la musique, peu leur importe le contenu, l'essentiel est qu'ils vendent le contenant. Si l'on pense que cette manière de commercialiser une pièce musicale est néfaste, la moindre des choses est de boycotter ce type de commercialisation et d'en faire part à son entourage. Vous êtes seul à pratiquer ce type de boycotte, félicitations, d'autres avant vous se sont trouvés très isolés dans des conditions autrement plus dramatiques. Il est préférable d'avoir raison dans la plus grande solitude que tort avec le nombre.
Je vais encore me répéter mais ceci est tout aussi néfaste : ces propos sont tenus par Petitgirard, président du conseil d'administration de la SACEM :
"L. P. : Les promoteurs de Deezer sont des gens qui se sont tout de suite posé le problème du droit d'auteur et sont venu voir les ayant droit. C'est à saluer. Mais il y a encore une disproportion énorme entre ce que représente Internet en termes d'efficacité et de facilité pour les internautes et son retour financier vers la filière, les créateurs. Avec Deezer, on est à sept millièmes d'euros au titre écouté par un internaute. Il faudrait donc qu'un titre ait été écouté des dizaines de milliers de fois pour rapporter quelques euros qui se partagent entre l'éditeur, les compositeurs et les auteurs. A force de vouloir concurrencer la gratuité, le piratage, on arrive à une dévalorisation de la musique. La comparaison avec la radio est limitée. Pour gagner avec Deezer l'équivalent sur de ce que rapporte un passage sur RTL, il faudrait qu'une chanson soit écoutée des centaines de milliers de fois..."
Si l'on pense que cette manière de diffuser une pièce musicale est néfaste, la moindre des choses est de boycotter ce type de diffusion et d'en faire part à son entourage. Consommer est aussi un acte politique. Ce qui se génère sur le net n'est en rien un modèle économique viable pour les artistes. Les discours sur le partage, les bons sentiments me sont insupportables.
Il est de bon ton de critiquer la SACEM, alors qu'il est vital de prendre sa défense. C'est le dernier rempart avant l'ère du "encore beaucoup plus de n'importe quoi" en matière de droits d'auteurs. Nous sommes déjà pratiquement nus, à quand le bal des écorchés ! trois mois avant le debat Hadopi .... tu disais ça, cher Pval que je ne connnais pas , je suis tombé dessus , cela a réchauffé mon pauvre coeur et ,à quelques jours des élections, j 'ai eu envie de relancer . Meme si ce sujet est dans les " punis " . genre open bar : C'est tellement moins important pour macmusic l'avenir de la profession et de l'art en general , que de parler de la derniere mouture du sampleur bidule .... Seuls ce genre de sujet ont droit aux honneurs de la premiere page . Le Monde 2 a fait un gros papier sur la " censure Internet " . Lalanne et Cohn Bendit déblaterent sur le droit d'auteur et le fils de Segolene a déjeuné avec le vieux Linuxien de la quadrature du net. C'est quasiment " choisis ton camp camarade " .
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brian Holden
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