Les portraits, les mots, les sens, les personnages et les lieux, tout existe.
Puis vient la mélodie, consubstantielle à l’accouchée des mots.
Récréations, manipulations, jeux de notes, de tons, de soupirs.
Les accords se renversent, se transposent, diminuent, augmentent, s’enrichissent, sur un carnet, sous un stylo, sur une guitare, la voix.
L’isolement, les peurs, de construire, de créer et conter la vie, enjeux artistiques et narcissiques.
Complexité, simplicité, ne sont-elles qu’un simple jeu de miroirs, et Africaine de la rue Paradis : une oxymore ?….
http://www.germainekobo.com/2012/11/africa...le-nouveau.html