J'ai Regardé L'eurovision, et oui… Options

[blek]

Ce n'est plus le concours Eurovision de la chanson mais le Eastern block worst dance club piece of crap junkyard ou quand la ringardise n'a même plus de saveur… La France ferait bien de faire comme l'Italie et abandonner cette pitoyable pitrerie.

[blek]

Je suis plus consterné qu'en colère. Quand j'étais môme, les productions de qualité étaient majoritaires. Les limites étaient clairement définies. On s'y retrouvait. On pouvait couvrir et connaître pratiquement tout ce qui se produisait. Maintenant, la production est absolument gigantesque, inhumaine, toutes les frontières se sont estompées, les étiquettes valsent comme des confettis, des machins innommables vous sont présentés comme des trésors jusqu'au point qu'un monument de la ringardise avérée qu'est ce concours de l'Eurovision, n'arrive même plus à avoir le goût du ringard. C'est comme les fraises d'aujourd'hui, elles sont énormes et c'est que de la flotte sans aucun goût… Et ça plaît ! C'est ça le pire. Désinfectée, désincarnée, insipide, sans odeur, on est en train de mâchouiller la musique à l'état ou le commerce veut l'amener : un emballage, un papier cadeau pour envelopper un produit ou un service… Déprimant.

[pval]

Je suis plus consterné qu'en colère. Quand j'étais môme, les productions de qualité étaient majoritaires. Les limites étaient clairement définies. On s'y retrouvait. On pouvait couvrir et connaître pratiquement tout ce qui se produisait. Maintenant, la production est absolument gigantesque, inhumaine, toutes les frontières se sont estompées, les étiquettes valsent comme des confettis, des machins innommables vous sont présentés comme des trésors jusqu'au point qu'un monument de la ringardise avérée qu'est ce concours de l'Eurovision, n'arrive même plus à avoir le goût du ringard. C'est comme les fraises d'aujourd'hui, elles sont énormes et c'est que de la flotte sans aucun goût… Et ça plaît ! C'est ça le pire. Désinfectée, désincarnée, insipide, sans odeur, on est en train de mâchouiller la musique à l'état ou le commerce veut l'amener : un emballage, un papier cadeau pour envelopper un produit ou un service… Déprimant.

Et les choses ne vont guère s'arranger. "Regardons" si j'ose dire ce que nous préparent ces braves gens dans le monde de l'audiovisuel, seconde coupure publicitaire pour les chaînes privées par exemple. Et pour le reste, pour le reste, nous ne savons rien, les décisions sont le fait d'un très petit nombre d'individus. Ce qui est certain, c'est que les bouleversements seront majeurs et que la création, sa qualité, c'est peanuts dans l'esprit des garçons commis qui nous dirigent. Les dangers très importants pour l'édition que représenterait la suppression du prix unique du livre sont un autre signe inquiétant.
L'arme la plus efficace contre la connerie, l'abêtissement général, la vulgarité, c'est finalement de les regarder bien en face (une émission du type de celle ci-dessus fera l'affaire) puis de boycotter l'outil qui les diffuse.
Face aux trois fléaux cités précédemment, bon courage !