Ina : Place Aux Chansons, http://chansons.ina.fr/ Options

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Signalé sur le monde.fr :

L'Institut national de l'audiovisuel sur Dailymotion
On ne présente plus le site Internet de l'INA et son imposante base de données aux 100 000 émissions de radio et TV. Depuis novembre 2007, l'INA a également pris pied sur le site de partage de vidéos Dailymotion et poste régulièrement des vidéos tirées de ses archives : bêtisiers, documents de 3 min et extraits de ses récents dossiers (en ce moment, "Carré blanc !" sur l'histoire du sexe à la télévision). On peut même les glisser dans les favoris de son compte Dailymotion. A signaler aussi la rubrique consacrée à la grande chanson française. "Place aux chansons" couvre 50 ans de tubes diffusés à la télévision française via plus de 2.000 clips en téléchargement et des centaines d'entretiens accessibles par artistes, genres ou époques. Enfin, clou de la visite, le karaoké interactif pour interpréter "Capri c'est fini", "Et si tu n'existais pas", "Du côté de chez Swann" et bien d'autres... A vos microphones USB !


http://chansons.ina.fr/

Merci Monde.fr

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jrozen, mardi 19 février 2008, 18:52
CITATION
L'Institut national de l'audiovisuel sur Dailymotion
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.... sauf que sur ce site, l'INA, rapace comme d'habitude, ne met en ligne que les 20 permières secondes de chaque chanson, et vous invite à payer pour voir la chanson en entier.... Rappelons que l'INA s'est approprié tous les fonds des chaines de télé publiques au moment de la dissolution de l'ORTF, et c'est votre pognon (ou celui de vos parents) aspiré par la redevance et les impots de l'époque qu'elle fait fructifier à son seul profit. Car en fait, c'est vous (nous) les vrais producteurs de tout ça....[quote]

L'Ina a même été plus loin que de s'approprier la mémoire collective 'publique' : petite histoire : dans le milieu des années 90, un ami rachète une société de photo/reportage pour le fond d'archives qu'elle possédait, très riche sur la vie en France durant la seconde guerre mondiale; cette société avait 3/4 photographes salariés durant cette période. Cette acquisition était pour lui symbolique : ancien agrégé d'histoire recyclé dans la communication, la signature des clichés de cette société en bas des photos de certains manuels l'avait des années durant fait rêver. Question suivante : comment rentabiliser 'la belle au bois dormant' ? Idée logique : numériser l'énorme stock de négatifs et les proposer ensuite aux éditeurs. Acquisition de scanners lourds, embauche d'opérateurs, et premières approches commerciales. Et là : surprise : L'ina commercialisait déjà la plupart de clichés phares de son fond, images probablement rescannées à partir de tirages...fin du rêve. Mon ami a finalement ré-orienté totalement l'activité de cette société, qui porte toujours le nom de ce fond...